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ALPHABET

L’Idunat est la langue des Femmes d’Iduna.
Elle nous a été confiée par les Déesses via la Messagère Eudérame.

L'Idunat n’est pas encore complète : elle est une révélation en marche.

En l’étudiant dès maintenant, vous participez à cette naissance.
Chaque nouvelle découverte sera ajoutée ici, afin que toutes les Femmes d’Iduna puissent grandir ensemble dans la Parole des Déesses.

Il n'est pas obligé de l'apprendre, mais cette langue fait partie de notre Peuple, et de notre héritage.

Pour plus de clarté nous procèderons par mise à jour.

La langue Idunat est à la version : 0.1 au 1 septembre 2025

ALPHABET

L'alphabet Idunat est un alphabet consonantique, c’est-à-dire qu’il ne contient pas de lettres voyelles, mais uniquement 18 consonnes. Chaque lettre consonantique possède une signification propre, ce qui aide à la création des mots.

  1. Arine → le commencement

  2. Bay → la continuité

  3. Dun → la terre

  4. Fina → la réflexion

  5. Gaelle → l’évolution

  6. Hut → la vitesse

  7. Jet → l’apprentissage

  8. Kar → la défense

  9. Lam → la musique

  10. Mem → la naissance

  11. Numa → le foyer

  12. Py → la beauté / mystère

  13. Ruhn → la montagne

  14. Seket → le temple

  15. Taya → l’habitation

  16. Valo → la parole

  17. Wel → le corps / femme

  18. Zin → l’infinité

Arine (a-ri-ni) "a"

Arine est la première lettre de l’alphabet. C’est une lettre muette, utilisée pour placer une voyelle en début de mot. En l’absence de distinction (point ou trait vocalique), elle se prononce « a ».
Elle signifie « le commencement », et c’est effectivement par elle que débute l’alphabet.
Son tracé représente un grand triangle ouvert à la base. Il surplombe tout ce qui se trouve en dessous : la création.

Bay (b-a-ii) "b"

Bay est la deuxième lettre de l’alphabet. Elle signifie « la continuité » et suit directement Arine, qui représente « le commencement ». 
Associée à Arine, elle forme le logogramme « univers » — ce qui commence et ce qui se poursuit.
Son tracé est celui d’un trait qui revient sur lui-même.

Dun (d-ou-n) "d"

Dun est la troisième lettre de l’alphabet. Elle signifie “la terre”. Associée à la lettre Wel, qui représente “le corps / la femme”, elle forme le logogramme Iduna (“terre des femmes”). Son tracé correspond à un trait horizontal. Ak’dun signifie d’ailleurs littéralement “direction de la terre”. Or, puisque la terre est celle des femmes d’Iduna, cela signifie également “la direction des femmes”.

Fina (fi-na) “f”

Fina est la quatrième lettre de l’alphabet. Elle signifie “la réflexion”. Son tracé se compose d’un petit trait vertical relié à un autre par un grand trait horizontal. Ce symbole exprime le passage d’une idée à une autre.

Gaelle (g-a-elle) “g” comme dans “gabrielle”

Gaelle est la cinquième lettre de l’alphabet. Elle signifie “l’évolution”. Son tracé se compose d’un petit trait horizontal relié à un autre par un grand trait vertical. Ce signe illustre le passage d’un état “bas” à un état “haut”, c’est-à-dire l’évolution.

Hut (hhh-u-t) “h” long soufflé vers l’extérieur 

Hut est la sixième lettre de l’alphabet. Elle signifie “la vitesse”. On la prononce en allongeant le souffle du “h” vers l’extérieur, accompagné de la voyelle correspondante. Son tracé est formé d’un grand trait diagonal orienté vers la droite, suivi d’un petit trait dans la même direction. À Idunat, l’expression “Hut-Hut !” signifie : “Plus vite !”

Jet (J-èt) “j”

Jet est la septième lettre de l’alphabet. Elle signifie “l’apprentissage”. Son tracé se compose d’un grand trait horizontal auquel est accolé un trait diagonal orienté vers la droite. Ce signe évoque l’image d’un livre sur lequel on inscrit des mots avec un stylo : symbole de l’étude, de l’apprentissage et du savoir.

Kar (k-a-r) “k”

Kar est la huitième lettre de l’alphabet. Elle signifie “la défense”. Son tracé est constitué d’un grand trait vertical dont les deux extrémités portent un petit trait horizontal, orienté vers la gauche. Ce signe illustre la protection de l’œuvre d’Erzulie, c’est-à-dire Iduna. L’orientation vers la gauche rappelle le geste d’Erzulie, qui s’est sectionné le sein gauche afin de donner naissance à Iduna, la Terre promise à toutes les femmes.

Lam (L-a-m) “l”

Lam est la neuvième lettre de l’alphabet. Elle signifie “la musique”. Son tracé prend la forme d’un triangle inversé. Ce triangle renversé évoque le tambour, instrument de musique sur lequel on frappe pour faire résonner le rythme.

Mem (m-è-m) “m”

Mem est la dixième lettre de l’alphabet. Elle signifie “la naissance”. Son tracé se compose d’un petit trait vertical, placé à gauche, accolé à un grand trait horizontal. Ce signe illustre l’enfant (le grand trait horizontal) sortant du ventre de la mère (le petit trait vertical).

Numa (n-ou-m-a) “n”

Numa est la onzième lettre de l’alphabet. Elle signifie “le foyer”. Son tracé représente un carré ouvert à la base, évoquant une structure surmontée d’un toit : symbole de l’abri, de la maison et de la chaleur du foyer.

Py (pii) “p”

Py est la douzième lettre de l’alphabet. Elle signifie “la beauté”, mais aussi “le mystère”. Son tracé est celui d’un X. Le centre de cette croix symbolise à la fois la réponse au questionnement et l’émergence du mystère, tout en incarnant la beauté par l’harmonie parfaite de son emplacement. La lettre Py (X) est également employée en fin de phrase pour marquer l’interrogation.

Ruhn (rrr-u-n) “r” roulé en début de mot sinon “r” parisien

Ruhn est la treizième lettre de l’alphabet. Elle signifie “la montagne” et, par extension, “l’effort”. Son tracé est celui d’un triangle, représentant à la fois la montagne et l’ascension nécessaire pour la gravir.

Seket (sé-k-èt) “s”

Seket est la quatorzième lettre de l’alphabet. Elle signifie “le temple”. Son tracé est celui d’un triangle dont le côté gauche est doublé, rappelant la solidité et la sacralité de la structure. Ce signe évoque le lieu consacré, espace de recueillement et de communion avec le divin.

Taya (ta-i-ya) “t”

Taya est la quinzième lettre de l’alphabet. Elle signifie “l’habitation”, “la construction” et plus largement “l’acte de bâtir”. Son tracé est formé d’un grand trait horizontal, duquel s’élèvent deux grands traits verticaux et parallèles. Ce signe symbolise une structure qui surgit de la terre, image de la construction et de l’édification.

Valo (va-lo) “v”

Valo est la seizième lettre de l’alphabet. Elle signifie “la parole”. Son tracé se compose de deux traits diagonaux partant d’une même base située à gauche, évoquant la voix qui s’élance depuis la bouche.

Wel (w-è-l) “w”

Wel est la dix-septième lettre de l’alphabet. Elle signifie “le corps” et, par extension, “la femme”. Son tracé est constitué d’un grand trait vertical, posé sur un petit trait horizontal à sa base. Ce signe exprime la stabilité du corps et l’ancrage de la femme dans la création.

Zin (z-i-n) “z”

Zin est la dix-huitième et dernière lettre de l’alphabet. Elle signifie “l’infinité”. Son tracé est celui d’un cercle parfait, symbole d’éternité, de complétude et de cycle sans fin.

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